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Les derniers chiffres montrent que près de la moitié des travailleurs et travailleuses ne suivent pas de formation continue. Une personne sur trois aimerait bien le faire, mais elle se heurte à des obstacles financiers et temporels trop importants. Pour Syna et  Travail.Suisse, il est clair que les employeurs et les pouvoirs publics doivent soutenir davantage la formation continue, dans l'intérêt des travailleurs et travailleuses mais aussi pour lutter contre la pénurie de main-d'œuvre qualifiée.

De plus en plus de travailleuses et travailleurs sont touchés par le stress et l'épuisement au travail. Les raisons sont de nature structurelle et tiennent surtout à des journées de travail toujours plus longues, à des rapports de travail plus flexibles, à des processus de travail plus rapides et à la disparition des frontières entre la vie professionnelle et la vie privée. Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, et ses fédérations présentent une analyse complète sur le thème du stress et de l'épuisement des travailleurs et travailleuses et demandent des mesures dans dix champs d'action, en particulier dans les domaines du temps de repos, de la possibilité de planifier et d'une moindre flexibilité.

Travail.Suisse, l'organisation faîtière de Syna, se réjouit que le Conseil fédéral prévoie, dans le message publié aujourd'hui, une augmentation des rentes de 0.3% supplémentaire à 2.8% afin de compenser entièrement le renchérissement. En même temps, Travail.Suisse critique la décision selon laquelle la Confédération ne veut pas apporter sa contribution à l'augmentation des rentes et demande au Parlement de corriger le tir. Travail.Suisse critique en outre le fait que le Conseil fédéral ne présente pas le concept nécessaire et urgent pour l'adaptation des rentes en cas de renchérissement supérieur à la moyenne.

La situation du coronavirus s'est améliorée ces dernières semaines et les hôpitaux n'ont pas été surchargés. Pour Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, la levée des mesures contre le coronavirus est compréhensible, bien qu'on ait favorisé une levée progressive lors de la consultation. Même sans directives de l'Etat, les entreprises doivent veiller à la santé de leurs travailleurs et travailleuses.

Aujourd'hui et hier, le Conseil national a débattu pour la première fois de la réforme du deuxième pilier (LPP 21). Au lieu d'adopter le compromis équilibré des partenaires sociaux, il le rejette et transmet au Conseil des États un projet volant en éclats. Une réforme équitable et socialement acceptable du deuxième pilier s'éloigne ainsi à grands pas. Syna et sa faitière Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, critiquent sévèrement les décisions prises aujourd'hui par le Conseil national.

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