La Commission de l'économie et des redevances du Conseil national (CER-N) a approuvé aujourd'hui une nouvelle réglementation du télétravail.
Le 21 janvier dernier, la Commission de l'économie et des redevances du Conseil national (CER) a approuvé une initiative déposée par le canton de Zurich exigeant l'ouverture sans restriction des magasins douze dimanches par an au lieu des quatre actuels. Cette décision est préoccupante.
La séparation claire entre travail et loisirs, qui pendant longtemps a rythmé nos journées, devient toujours plus poreuse. Insidieusement, le travail empiète sur les loisirs. Je le remarque aussi chez moi, lorsque je lance encore un coup de fil après la fin de ma journée de travail ou que je consulte mes e-mails le week-end. Or ces petites actions peuvent être lourdes de conséquences.
Selon les cantons, entre 20 et 25 % des jeunes âgés de 15 à 25 ans souffrent de troubles dépressifs et/ou anxieux, d'une dépendance ou de solitude.
Nous venons du Jura, du Jura bernois, de Genève, du Valais, de Fribourg, de Neuchâtel et de Vaud.
Nous, les travailleuses et travailleurs du Second oeuvre romand, sommes réunis en Assemblée générale à Lausanne en cette journée de lutte du 1 mai pour porter la voix solidaire de nos 25'000 collègues de toute la Romandie
Il est apparu clairement, au plus tard lors de la pandémie de Covid, que personne ne sait vraiment comment va le personnel de santé. Du moins pas officiellement. L'Alliance du personnel de santé a donc proposé un monitoring pour que des données officielles et statistiquement exploitables soient enfin collectées sur le personnel de santé. Et il y a de fortes chances pour que la Confédération et les cantons le mettent en œuvre.
Il est encore trop tôt pour dire si de nouvelles mesures de protection devront être introduites à l'automne prochain. Les informations que nous avons collectées avec notre enquête n'en demeurent pas moins importantes pour nous et pour nos membres, puisqu'elles nous permettraient de formuler nos revendications de manière plus ciblée si la situation pandémique devait à nouveau s'aggraver.