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Réuni en assemblées générales cet après-midi, le personnel de Vetropack est heurté par le manque de respect et la brutalité de la communication de l'entreprise qui a répondu avec légèreté aux propositions du personnel et préféré communiquer hier d'abord aux médias, et pas au personnel concerné. Le personnel demande la négociation d'un plan social conformément à la convention collective de travail d'entreprise, le renoncement à tout licenciement avant l'adoption du plan social et le maintien d'emplois industriels sur le site. A défaut de cela, des mesures de lutte seront mises en œuvre.

Cette année, le fabricant de machines textiles Rieter, le fabricant de clés Dormakaba, le producteur de vélos électriques Flyer, la Poste ou encore le groupe hospitalier de Saint-Gall ont annoncé des licenciements collectifs. Alors que ces annonces semblent se multiplier, faut-il craindre une vague de licenciements en Suisse?

Peu avant Noël, les 220 employés de BAT Boncourt ont reçu un cadeau amer : la manufacture de tabac devait être définitivement fermée. Laurent Crevoisier, secrétaire régional Jura, et Juan Barahona, secrétaire central, ont accompagné les employés tout au long du processus.

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La direction de British American Tobacco (BAT) maintient sa volonté de fermer le site de Boncourt. Malgré un travail remarquable de 36 collaboratrices-eurs de BAT accompagné-e-s des deux syndicats, la direction n'a pas pris en compte les mesures alternatives proposées par les salarié-e-s et validé en assemblée par le personnel. Le site industriel historique de Boncourt n'échappe donc pas à la fermeture.

Le personnel de British American Tobacco (BAT) à Boncourt a décidé de mandater les syndicats Unia et Syna pour défendre ses intérêts. Ces prochaines semaines seront consacrées à la recherche d'alternatives pour sauvegarder les emplois. Un cadre a été trouvé avec la direction pour mener des discussions dans des conditions acceptables.

Le groupe pharmaceutique Novartis à la rentabilité exceptionnelle veut supprimer plus de 1400 emplois en Suisse pour encore augmenter ses marges. Malgré la procédure de consultation prescrite par la loi, le groupe refuse de reconsidérer sa décision. Les syndicats demandent une vraie procédure de consultation, afin d'élaborer des alternatives aux suppressions de postes.

General Electric (GE) a clos la procédure de consultation, confirmant des suppressions de postes sur plusieurs sites argoviens. Syna exige que cette coupe soit la dernière au sein de cette entreprise industrielle.

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