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Coop est loin d'avoir répondu aux revendications salariales des représentations du personnel pour 2023. Par conséquent, les associations d'employé-e-s (Syna, Unia, la Société suisse des employés de commerce (SEC)) et l'employeur ne sont toujours pas parvenus à un accord, après quatre rondes de négociations. Seule l'Union des Employés de Coop (UEC) a accepté la dernière proposition de Coop.

Le 22 novembre, a eu lieu le premier des deux rondes de négociation supplémentaires pour le renouvellement de la convention nationale (CN), qui règle les conditions de travail d'environ 80 000 travailleurs de la construction. Les entrepreneurs et les syndicats se sont mis d'accord sur ces séances supplémentaires après qu'aucune solution n'a été trouvée lors de ce qui aurait dû être la septième et dernière ronde du 14 novembre. Il est nécessaire de parvenir maintenant à une solution pour éviter un vide conventionnel.

Grace à Syna et ses partenaires syndicaux, une grande partie des coiffeuses et coiffeurs profiteront de meilleurs salaires dès l'année prochaine. Néanmoins, ces augmentations sont loin d'être suffisantes et Syna continue de se battre pour un 13e salaire ou un système équivalent. 

Depuis le 17 octobre, 15 000 travailleurs de la construction sont descendus dans la rue. La mobilisation était centrée sur leurs revendications, à savoir une meilleure planification de leur temps de travail et que leurs journées de travail ne soient pas encore plus longues, surtout en été. En amont de la dernière ronde de négociations, les syndicats ont noté avec bienveillance que la tête de la Société suisse des entrepreneurs était apparemment prête à ne pas dégrader les conditions de travail des collaborateurs plus âgés.

Aujourd'hui, la dernière vague de protestation des maçons dans le cadre de la renégociation de la convention nationale (CN) a atteint le siège de la Société suisse des entrepreneurs à Zurich. Les exigences démesurées des entrepreneurs qui doivent permettre des journées de travail de 12 heures et des semaines de 58 heures ont poussé au total 15 000 maçons, dont quelque 1500 maçons à Zurich, dans les rues de Suisse depuis le 17 octobre. Les revendications des entrepreneurs sont une attaque contre la santé et la vie privée et familiale des maçons. Ils s'y opposent avec leurs journées de protestation.

Les protestations nationales des salariés de la construction dans le cadre de la renégociation de la Convention nationale (CN) se poursuivent ! Aujourd'hui, 1er novembre, beaucoup des chantiers sont restés inactifs dans les régions de Bâle et Argovie. Plus de 1000 maçons se sont mobilisés et ont cessé le travail. Ils s'opposent aux exigences totalement démesurées des entrepreneurs, notamment aux journées de travail de 12 heures et aux semaines de 58 heures, temps de déplacement compris. Les travailleurs de la construction ne sont pas prêts à payer de leur santé et de leur vie privée les problèmes que les maîtres d'ouvrage ont créés eux-mêmes.

La formation de base Progresso destinée aux collaborateurs non diplômés de l'hôtellerie-restauration n'a jamais été aussi pertinente. Dans la situation actuelle, caractérisée par une pénurie de main d'œuvre qualifiée préoccupante, elle apporte une contribution importante à la professionnalisation du personnel et l'encourage à rester dans cette branche. En 2023, le nombre de cours proposés sera donc plus élevé que jamais.

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