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Les travailleurs et travailleuses sont le fondement de toute économie. Ils ont droit à une participation équitable à la valeur ajoutée qu'ils ont contribué à produire ainsi qu'à des conditions de travail qui ne menacent ni leur santé physique ni leur santé psychique. Malheureusement, nous n'observons aucune évolution positive en matière de salaires ni de conditions de travail.

Se retrouver soudain sans travail, ça peut arriver tout le monde. Et ce sont alors souvent la crainte de l'avenir, la difficulté de s'y retrouver dans la jungle administrative et parfois même la honte qui dominent Pour aider ses membres à surmonter cette passe difficile, Syna les soutient dans leurs démarches avec l'assurance-chômage (AC).

Les négociations salariales de cette année entre les partenaires sociaux Syna, Unia, l'OCST ainsi que la Société suisse des employés de commerce et le détaillant Coop n'ont pas abouti à un accord. Coop n'a pas proposé de compensation intégrale du renchérissement et a refusé d'accorder une compensation des primes d'assurance maladie ainsi qu'une augmentation des salaires réels.

Stahl Gerlafingen avait annoncé 120 licenciements. La poursuite de l'activité de l'aciérie est gravement menacée. Une fermeture serait désastreuse non seulement pour les quelque 500 salarié-e-s, mais aussi pour les objectifs climatiques de la Suisse. Soutenez la lutte des travailleuses et travailleurs de l'aciérie, participez à la manifestation de solidarité !

Hier, les quelque 500 travailleuses et travailleurs de Stahl Gerlafingen ont manifesté à Berne contre les licenciements et pour des mesures politiques visant à sauver l'aciérie. Aujourd'hui, les politiques envoient de premiers signaux encourageants. Il faut toutefois des engagements clairs du Conseil fédéral et de l'entreprise.

Environ 500 personnes, avant tout des travailleuses et travailleurs de Stahl Gerlafingen, ont réclamé aujourd'hui devant le Palais fédéral des mesures politiques pour sauver l'aciérie. L'entreprise doit en outre renoncer à tout licenciement. Une pétition avec les mêmes revendications a été signée par 10'000 personnes en une semaine.

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