Lentement, mais sûrement, ça bouge dans la politique familiale.
Notre initiative sur le congé paternité a donné une impulsion au Parlement fédéral: la commission compétente du Conseil des États propose un contre-projet indirect qui prévoit un congé de 10 jours. L'intention est bonne, mais 10 jours, ça ne suffit pas.
Cette semaine, dans une publication du service d'information du Centre Patronal, Pierre-Gabriel Bieri s'est exprimé au sujet de l'initiative de congé paternité, usant d'arguments qui ne sauraient rester sans réponse.
Un horaire de travail flexible, travailler où et quand on le souhaite: voilà qui, au premier abord, peut sembler la panacée. Cependant, cela peut vite devenir un fardeau pour les salarié-e-s, comme en témoignent deux exemples.
Le Conseil fédéral a annoncé officiellement qu'il rejette le congé de paternité. L'association «Le congé paternité maintenant!» a réagi à cette annonce par une action de protestation sur la place fédéral.