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Les nouvelles formes numériques de travail, comme le télétravail, renforcent l'imbrication des données privées et professionnelles. Dans quelle mesure les employeurs peuvent-ils utiliser les données personnelles de leurs collaborateurs? Et quel est le degré de contrôle autorisé? Nous demandons Ursula Uttinger, spécialiste de la protection des données.

Avec les nouvelles formes numériques de travail comme le home office, les données privées et professionnelles sont de plus en plus imbriquées. C'est surtout le traitement de données particulièrement sensibles qui est préoccupant. Le syndicat Syna rappelle aux employeurs qu'ils ont le devoir de protéger les données personnelles de leurs employé-e-s.

Le 18 décembre, le Conseil des Etats discutera du projet de loi sur la protection des données. Dans le cadre d'une révision totale de la loi qui doit préserver le sens de son contenu, il est nécessaire de protéger les données ayant un impact sur les conditions de vie, de travail et d'accès à la justice des individus. Travail.Suisse et Syna soulignent donc l'absolue nécessité d'inscrire dans la loi une protection spéciale pour les données liées à l'activité des syndicats.

Notre vie privée bénéficie d'une protection spéciale. Cela vaut également sur le lieu de travail, où une multitude de données est de plus en plus souvent recueillie sur nous. Un regard sur la pratique montre les conséquences possibles.

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