Syna continue à œuvrer pour la protection inconditionnelle de la santé des ouvriers de la construction – mais aussi pour leur protection en général. En effet, la pression sur les prix et les délais dans la construction continue d'augmenter, malgré ou à cause du coronavirus.
Dans les entreprises industrielles suisses, de nombreux carnets de commande restent vides en raison de la crise du coronavirus. Toutefois, les employé-e-s ne doivent pas être les premiers-ères à en payer le prix.
Première branche à reprendre du service, la coiffure est observée de près et endosse une importante responsabilité. L'application stricte du plan de protection covid-19 demeurent la clé du succès.
L'hôtellerie et restauration doit tirer les leçons de la crise. Syna exige que la santé du personnel soit protégée, qu'aucune surcharge de travail ne soit imposée, et que la charge de travail soit incluse dans chaque contrat, pour que personne ne parte les mains vides en cas de crise.
L'approvisionnement en denrées alimentaires a bien fonctionné durant la crise du coronavirus. Cependant, les conditions de travail de celles et ceux qui s'en occupent restent médiocres. Tu as sûrement déjà dû te demander pourquoi...?
Malgré l'assouplissement en cours des mesures liées au Covid-19, les conséquences économiques de la crise sont encore impossibles à évaluer. On constate cependant déjà que le secteur de l'industrie sera frappé de plein de fouet, bien qu'avec un temps de retard. Syna demande instamment aux employeurs de renoncer à licencier.
Dans le secteur de la santé, certaines personnes travaillent 13 heures d'affilée, tandis que d'autres ne trouvent plus de travail et ne touchent même pas d'indemnités de chômage partiel. C'est inacceptable. Une convention collective nationale de travail (CCNT) est nécessaire.
Sarah* travaille comme assistante en soins dans un home pour personnes âgées dans le canton de Bâle-Ville. Elle nous parle de son travail quotidien – pendant la crise de coronavirus également.