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General Electric (GE) annonce une nouvelle fois un licenciement collectif. Cette fois, ce sont 562 postes de l'unité GE Grid à Oberentfelden qui sont appelés à disparaître. Ce serait la quatrième grande vague de démantèlement en quatre ans. La représentation du personnel et les organisations de salarié-e-s demandent le renoncement complet aux licenciements. Le Conseil fédéral doit absolument faire pression sur l'entreprise pour qu'elle renonce aux suppressions de postes et maintienne la production en Suisse.

 Le 27 septembre, la Suisse vote enfin sur le congé paternité. Depuis quelques jours, les votants et les votantes ont reçu leur enveloppe de vote – mais ils et elles ne trouvent le mot « congé paternité » nulle part sur le bulletin de vote.

Le 27 septembre, les citoyens suisses se prononceront sur l'initiative de résiliation des accords bilatéraux de l'UDC. L'alliance du camp du non est aussi large que la liste des arguments contre cette initiative radicale est longue. Les membres l'alliance ont décidé de mener une action commune inhabituelle: ils se sont réunis dans quatre lieux où l'ouverture et les interactions de la Suisse avec l'extérieur sont visibles et tangibles. Ainsi, ils montrent qu'aux quatres coins de notre pays, des personnes se mobilisent en faveur du non à cette initiative qui vise à isoler la Suisse du reste de l'Europe.

Le syndicat Syna est choqué que, malgré son recours au chômage partiel, Mecaplex SA supprime 35 postes, soit presque la moitié de son personnel, sans plan social pour les employé-e-s concerné-e-s. Syna attend de l'entreprise – en particulier en cette période de pandémie – qu'elle soutienne les salarié-e-s licencié-e-s et leur propose des solutions.

 Le premier sondage gfs confirme l'approbation claire d'un congé paternité de deux semaines. 63% des personnes interrogées sont clairement en faveur du compromis facilement organisable et finançable. C'est ce que montre également le comité national "Le congé paternité maintenant!", qui est composé de représentant-e-s de tous les partis parlementaires, de jeunes et de personnes âgées, d'employeurs et de salarié-e-s, et qui s'agrandit chaque jour. Ensemble, ils font campagne pour un oui au congé paternité favorable aux familles le 27 septembre.

Le syndicat Syna critique les mesures proposées hier par le Conseil fédéral pour juguler les coûts de la santé. Après la crise du coronavirus, il faut des investissements et une redistribution équitable de l'argent dans le domaine de la santé: plus de temps et de salaire pour le personnel et des soins de qualité pour la population.

L'enquête spéciale coronavirus du «Baromètre Conditions de travail» le montre: pour beaucoup, la charge de travail et les obligations de prise en charge ont augmenté pendant la période de confinement – sans aucune compensation ou seulement de manière partielle de la part de leurs employeurs. Elle montre également que les mesures de prévention ont été soutenues par la plupart dans un esprit de solidarité. Cependant, pendant le confinement, un nombre considérable de patients atteints du Covid-19 n'ont pas été mis en quarantaine ou en auto-isolement.
Les vendeuses, les facteurs, les aide-soignantes et le personnel de nettoyage ont été applaudis au printemps. Nous exigeons désormais des augmentations de salaire pour ces personnes. En ces temps de coronavirus aussi, ou à plus forte raison, les salaires peuvent et doivent être augmentés. Des augmentations générales de salaire allant jusqu'à 1,5% sont possibles et renforcent la consommation. Dans les branches rencontrant de graves difficultés économiques, le maintien des places de travail est prioritaire.
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