René Lipp n'hésite pas: quand il y a du boulot, il met la main à la pâte. Pas étonnant dès lors qu'en tant que membre de Syna, il s'engage activement au sein du syndicat depuis des années.
Est-ce que «session» a vraiment un lien avec «siège»? Les mots se ressemblent... Il y a du vrai: en politique, «session» désigne le fait de siéger dans des réunions. Pour être précis, ce sont les conseillers nationaux et les conseillers d'État à Berne qui siègent alors ensemble. Je t'explique ça:
Les images du personnel de la santé qui a manifesté le 30 octobre à Berne sont impressionnantes. L'initiative sur les soins infirmiers est également plébiscitée par la population. Si nous maintenons le cap, nous pourrions faire sensation.
Un an après l'adoption du congé paternité en Suisse, le bilan est plutôt négatif: en effet, de nombreux employeurs rechignent à accorder ces congés. Ce faisant, non seulement ils ignorent les besoins de leur personnel, mais sur le long terme, ils nuisent également à leur propre branche.
Mathias Regotz, membre du comité directeur de longue date, nous quitte fin octobre. Nous accueillons par ailleurs Anouk Zulauf, nouvelle responsable des services migration et 60+. Ils répondent à trois questions sur leur travail chez Syna.
Les liens actuels entre Linda Rosenkranz et le syndicat Syna sont triples: Linda travaille pour notre organisation faîtière Travail.Suisse, elle est membre de Syna et elle représente nos intérêts lors de la deuxième session des femmes* à Berne.
Dans le secteur de la santé, les conditions de travail se péjorent toujours davantage. Il faut que cela change, et c'est pour ça que nous descendrons dans la rue, le 30 octobre, à Berne, pour le personnel de la santé!
Il y a un an, le congé paternité a été approuvé. Une étude récente montre aujourd'hui que les employeurs de l'artisanat, des administrations cantonales et du secteur de la santé en particulier lésinent sur l'importance du temps accordé aux pères. Travail.Suisse et ses fédérations Syna et transfair, trouvent incompréhensible que les besoins des jeunes salariés de ces secteurs ne soient pas assez pris en considération et qu'on leur accorde que le minimum.