Marco Geu préfère chercher des solutions aux problèmes plutôt que de les ignorer. Secrétaire central au syndicat Syna, il lui arrive parfois d'utiliser pour cela des moyens peu conventionnels.
Les employé-e-s temporaires et le personnel travaillant sur appel souffrent particulièrement de la crise du coronavirus. C'est ce qu'a révélé une enquête auprès de plus de 5000 travailleurs et travailleuses conseillé-e-s par le syndicat Syna. Syna demande un frein à ces rapports de travail précaires et une meilleure couverture sociale en cas de réduction des horaires de travail ou de chômage.
L'approvisionnement en denrées alimentaires a bien fonctionné durant la crise du coronavirus. Cependant, les conditions de travail de celles et ceux qui s'en occupent restent médiocres. Tu as sûrement déjà dû te demander pourquoi...?
Le coronavirus a bouleversé notre monde. Soudain, nous réalisons tous quelles professions sont vraiment importantes. Les signes de respect et de gratitude envers les personnels soignant et de vente se multiplient. Syna s'engage pour une pérennisation après la crise.
L'avez-vous remarqué? Qu'elles soient infirmières, vendeuses ou employées de crèches, en cette période de pandémie, ce sont une fois de plus les femmes qui sont en première ligne pour affronter la crise.
Dans mon travail pour notre campagne «Véritables reines», je me suis rendue dans des commerces de détail de différentes régions. J'y ai rencontré de nombreuses vendeuses et j'ai beaucoup appris sur leurs conditions de travail.
La protection des travailleuses et travailleurs doit être assurée sans conditions dans toutes les branches. Le syndicat Syna demande que les entreprises qui ne peuvent la garantir soient fermées. Il faut par ailleurs consacrer immédiatement plus de moyens au chômage partiel.