En raison de difficultés cycliques importantes, Kugler Bimetal à Genève a annoncé son intention de licencier jusqu'à 10 personnes. Syna demande que tout soit entrepris pour l'éviter, notamment en ayant recours au chômage partiel.
Si le secteur de la santé est sévèrement régulé en matière de financement et d'autorisations, il en va tout autrement des conditions de travail. Ces dernières constituent cependant un facteur essentiel de la lutte contre le manque de personnel qualifié. Syna s'engage par conséquent pour une convention collective de travail pour les soins à long terme et les soins à domicile.
Syna et le SSP-VPOD ont activement soutenu les grévistes de l'Hôpital de la Providence qui, en 2012 et en 2013, s'étaient mobilisé-e-s pour le maintien de la CCT Santé 21 au sein de leur hôpital. Avec le soutien de Syna et du SSP, les grévistes ont saisi la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
La représentation du personnel de GE et les organisations de travailleurs/euses ont lancé une pétition qui demande pour GE une stratégie d'entreprise durable en Suisse. Intitulée «Sauvons notre industrie!», elle vise toute la population suisse. Une perte irréversible de connaissances et de places de travail doit ainsi être évitée.
Les délégué-e-s de Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, ont défini à leur congrès à Berne les positions et revendications pour les quatre prochaines années.
La numérisation est l'un des points forts du congrès de cette année de Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses. Les délégué-e-s ont discuté du « Coup de projecteur sur la numérisation » dans le cadre d'une table ronde.
Le Congrès de Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, a réélu aujourd'hui Adrian Wüthrich président de Travail.Suisse.
Aujourd'hui, le Conseil national a débattu de l'initiative populaire «Pour un congé de paternité raisonnable, en faveur de toute la famille» et du contre-projet indirect. Après un débat intensif, le Conseil national rejette l'initiative, qui demande un congé de paternité de 4 semaines, mais approuve le contre-projet de 2 semaines. La Suisse fait donc un petit pas dans la bonne direction.