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La NZZ a fait le compte: dans les 100 plus grandes entreprises suisses, il y a autant de femmes PDG que de patrons prénommés Urs – à savoir 4. Alors comment augmenter le nombre de femmes à des postes de direction?

Les femmes* en grève l'ont demandée haut et fort, et Syna la réclame sur le plan politique depuis des années: l'égalité salariale. Bien qu'ancrée dans la Constitution, elle est loin d'être une réalité. Voilà des arguments pour te défendre si cela te concerne.

Bien que l'économie s'est fort bien portée ces dernières années, les salaires des travailleurs et travailleuses n'ont qu'à peine augmenter. Ils ont même subi, au contraire, 2 ans à la suite des pertes de salaires réelles en raison de l'augmentation de l'inflation. Pour Travail.Suisse et Syna, il faut qu'il y ait à nouveau plus d'argent dans le portemonnaie des travailleurs et travailleuses. Pour éviter une nouvelle détérioration du pouvoir d'achat, les salaires doivent augmenter d'au moins 2% dans les négociations salariales de cette année.

Au cours des dernières années, l'économie a tourné à plein régime et son évolution reste solide actuellement pourtant, les travailleurs ont été contraints d'accepter de sévères réductions salariales. Syna condamne cette tendance et demande une augmentation générale d'au moins 2% supplémentaires de salaire pour tous les travailleurs! Qui plus est, après la grève féministe les paroles doivent se concrétiser en actes: il faut déclencher une offensive salariale dans les professions employant une proportion particulièrement élevée de femmes.

Avec plus d'un demi-million de participantes, la deuxième grève des femmes* a connu une réussite encore plus immense que la première grève nationale des femmes* en 1991. Les femmes ont clairement fait savoir l'importance et l'urgence de leurs revendications.

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