Collaborateur au Réseau hospitalier neuchâtelois depuis presque 30 ans, Frédéric tire les enseignements de la crise du covid-19 pour la branche de la santé. Dans cet entretien, le spécialiste en gestion de données de 51 ans, humaniste convaincu,il espère que la société en sorte grandie. Il relance aussi l'idée d'un revenu minimum universel.
Aujourd'hui 14 juin marque le premier anniversaire de la Grève féministe de 2019, lors de laquelle Syna était en première ligne. Une année plus tard, nos revendications restent malheureusement toujours d'actualité. A part une augmentation de la représentation des femmes* en politique, rien ne s'est amélioré.
Le rapport sur les mesures d'accompagnement (MA) présenté par le SECO montre que le contrôle des salaires et des conditions de travail fonctionne. Bien qu'il y ait des baisses de salaires, elles sont, grâce au MA, détectées et sanctionnées. Travail.Suisse et Syna sont convaincues que la protection des salaires et des conditions de travail reste importante et rejettent fermement leur démantèlement par le biais de l'initiative de limitation (initiative de résiliation).
Les partenaires sociaux et les associations économiques ont tenu aujourd'hui une table ronde avec le conseiller fédéral Guy Parmelin sur la situation économique suite à la crise du coronavirus. Travail.Suisse a rappelé la situation difficile des salarié-e-s. Elle estime que les chiffres du chômage, déjà maintenant en hausse, et les perspectives économiques sombres sont très préoccupants. Il est urgent de mettre en place dès maintenant les mesures nécessaires pour atténuer la crise économique à venir.
Karin Grossniklaus, infirmière depuis plus de 30 ans, travaille actuellement à temps partiel dans une maison de retraite du canton de Berne. Elle témoigne pour nous de ce qui lui plaît dans son métier et aussi de ce qui doit impérativement changer.
Ou: Quel rapport entre la crise du coronavirus et le congé de paternité? Commentaire d'Arno Kerst, président de Syna.
Les employé-e-s temporaires et le personnel travaillant sur appel souffrent particulièrement de la crise du coronavirus. C'est ce qu'a révélé une enquête auprès de plus de 5000 travailleurs et travailleuses conseillé-e-s par le syndicat Syna. Syna demande un frein à ces rapports de travail précaires et une meilleure couverture sociale en cas de réduction des horaires de travail ou de chômage.
En trente ans chez Syna, Joël Mugny, responsable de Syna Genève, a exercé plusieurs métiers… sans changer d'employeur! Au moment de remettre les clés du bureau genevois à son successeur, il revient sur les temps forts de sa carrière.
Syna continue à œuvrer pour la protection inconditionnelle de la santé des ouvriers de la construction – mais aussi pour leur protection en général. En effet, la pression sur les prix et les délais dans la construction continue d'augmenter, malgré ou à cause du coronavirus.
Pour Véronique Rebetez, responsable régionale de Syna Fribourg/Neuchâtel, rester proche des membres de Syna, mais aussi de ses équipes, a été une priorité quotidienne tout au long de la crise.
Dans les entreprises industrielles suisses, de nombreux carnets de commande restent vides en raison de la crise du coronavirus. Toutefois, les employé-e-s ne doivent pas être les premiers-ères à en payer le prix.
Première branche à reprendre du service, la coiffure est observée de près et endosse une importante responsabilité. L'application stricte du plan de protection covid-19 demeurent la clé du succès.
L'hôtellerie et restauration doit tirer les leçons de la crise. Syna exige que la santé du personnel soit protégée, qu'aucune surcharge de travail ne soit imposée, et que la charge de travail soit incluse dans chaque contrat, pour que personne ne parte les mains vides en cas de crise.