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La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil des Etats (CSSS-E) s'est rapprochée du Conseil national avec ses propositions de réforme de l'AVS. Pour égaliser l'âge de la retraite, elle veut consacrer plus de moyens financiers et augmenter davantage la TVA. Ce sont de trop petits pas dans la bonne direction. Pour Syna et Travail.Suisse, AVS21 reste un projet de réforme allant à l'encontre des intérêts des salarié-e-s, mais surtout des femmes.

Lors de leur assemblée d'aujourd'hui, les délégué-e-s de Travail.Suisse ont adopté des revendications concrètes pour les salarié-e-s pour le temps de l'après coronavirus. En outre, les délégué-e-s ont approuvé trois résolutions sur les thèmes de la prévoyance vieillesse, de la discrimination salariale et de la révision de la loi sur le travail, sans voix contraires.

JardinSuisse Fribourg, Neuchâtel, Jura et Jura bernois, ainsi que les syndicats Syna, Unia et Grüne Berufe Schweiz ont présenté ce matin la nouvelle CCT de la branche du paysagisme. C'est un accord historique qui marque la vitalité du dialogue social dans la branche et la volonté des partenaires sociaux de garantir ensembles des conditions de travail dignes.

La Banque cantonale de Schaffhouse réduit le congé maternité de ses employées de 16 à 14 semaines et justifie cette mesure par l'égalité de traitement entre hommes et femmes. Syna et Travail.Suisse, l'organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses, l'ont constaté avec étonnement. Dans une lettre ouverte, elles demandent à la direction de la Banque de renoncer à cette réduction du congé maternité.

Après presque deux ans de Covid, les soins sont devenus un enjeu politique brûlant. Un peu partout, on bricole le système de santé suisse, alors qu'il a besoin d'une refonte complète. Voici un aperçu des chantiers.

La coiffure relève autant de la technique que de l'art. Et les coiffeurs fournissent des soins personnels essentiels (la pandémie nous l'a rappelé) autant qu'ils créent du lien social. Il est urgent de valoriser l'image de la profession et surtout de revaloriser les salaires et les conditions de travail. 

En raison de la pandémie, de nombreux travailleurs et travailleuses sont confrontés à de graves difficultés économiques. Certains ont subi des pertes de salaires à cause du chômage partiel ou ont même perdu leur emploi. D'autres souffrent d'une charge de travail plus lourde et d'une pression accrue au travail. Un rapide retour à la normale constitue une première étape vers une amélioration de cette situation. Notre solidarité est également nécessaire – notamment dans le cadre de la vaccination.

Syna et sa faitière Travail.Suisse considèrent que la situation actuelle du coronavirus est fragile et soutient donc la décision prise aujourd'hui par le Conseil fédéral de laisser ouvert le début de la phase de normalisation. Travail.Suisse critique la décision de ne plus couvrir les coûts des tests. Il faut que davantage de personnes soient vaccinées pour que le danger de surcharge des hôpitaux soit éliminé et qu'aucune autre mesure ne soit nécessaire. Travail.Suisse rejette une extension du certificat Covid demandée par la partie patronale.

L'évolution favorable de la pandémie en Suisse a déclenché une forte reprise économique. Nous avons presque retrouvé le niveau d'avant-crise, même si l'on observe de grandes différences d'une branche à l'autre. De nombreux salarié-e-s ont subi des pertes de revenus durant la crise, et la hausse du renchérissement menace leur pouvoir d'achat encore davantage. Par la compensation du renchérissement et par des augmentations de salaire, il convient maintenant qu'ils participent à la reprise, car ils y ont largement contribué. Cela renforcera leur pouvoir d'achat et nous vaincrons la crise plus rapidement. Travail.Suisse, l'association faîtière indépendante des salarié-e-s, présente aujourd'hui avec Syna, Hotel & Gastro Union et transfair, des revendications salariales différenciées pour 2022.

Syna questionne les récentes décisions d'établissements hospitaliers ou de faîtières sanitaires romandes d'amputer de 20 pour cent, en cas de quarantaine, le salaire des employés non vaccinés. Cette mesure est répressive, disproportionnée, stigmatisante, injuste et indigne.  

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